QUELQUES EXTRAITS DE PRESSE A PROPOS DE HELENE SAGE

      "Hélène est une échappée belle de toutes mesures, et de toutes logiques musicales. Elle fabrique une zone libre.
   Elle chevauche quand elle joue, elle drague le lit des fleuves, elle brouille la mystique avec n’importe quel tuyau de plastique branché à son ordinateur, jusqu’à ce qu’avec une délicatesse presque timide, elle laisse filer jusqu’à nos oreilles, le prélude contemporain de la fin du monde."

    Eric Prémel (Extrait d'un texte à propos du spectacle donné le 18 février 2008 à la Cave Poésie de Toulouse
avec Benoit Lavoisier et Pascal Portejoie)

   "Les phrases s'accrochent les unes aux autres, les mots claquent, résonnent, tonitruent, s'emphasent, se prolongent d'une vie musicale.
  
Un fond sonore digne d'Erik Satie ou de Boulez vient soutenir un texte où il est question de limace, de singes, de zèbres, et où "le temps est une rature et l'espace a tout effacé".
  
Hélène Sage a produit un spectacle déraisonnable, s'appuyant sur les textes du jongleur de mots que fut Raymond Queneau, y apportant la distorsion nécessaire pour accéder à une autre dimension : l'imaginaire.
  
Humons la conditienne est un joyeux mélange de théâtre de l'absurde, qui respecte les consignes essentielles de cet assoiffé de savoirs qui avouait : "la chair des mots me passionne".
  
C'est le coté ludique des mots, la trituration du langage, le coté enjoué et irrespectueux des situations issues de toutes les manipulations qu'Hélène Sage a voulu montrer. Aidée en cela par Anne-Marie Charles à la mise en scène et Philippe No aux lumières."
  
Valérien Garcia - dans La dépèche du midi (à propos du spectacle "Humons la conditienne")

   "Michèle Buirette à l'accordéon et Hélène Sage aux ustensiles sonores rares, inhabituels ou détournés : oiseaux d'un paradis où les mots se déchaînent et les récits n'empruntent que les chemins de traverse. Les cinquante cinq minutes de représentation sont insensées, absurdes et délicieuses; Rabelaisien parfois, grivois parfois, mais toujours poétique."
  
Le journal du Centre (lors du festival "Jazz à Nevers" à propos du spectacle d'"Histoires zazoues" avec Michèle Buirette)

   "Un disque comme on les aime bien, tout le contraire des idées reçues, pour un certain esprit de vivre. Un disque intimiste, pour raconter sa vie quotidienne, ses humeurs et ses passions, sur un fond musical incongru. Dénonciation d'un monde complètement déréglé, ce disque nous amène à réfléchir sur des situations paradoxales. Avec un esprit musical très proche des climats différents et asociaux de notre société, cela fait du bien de faire de temps en temps le point. Ce disque est un reflet parfait d'une marginalité indispensable."
   Philippe Renaud - Improjazz (à propos du CD "Les Araignées" (GRRR 2022))

   "Une succession de plages surréalistes divinement organisées par Hélène Sage, poly-instrumentiste, chanteuse, compositrice, pleine de talent, d'humour, d'éclectisme."
   Guide FNAC (à propos du CD "Comme une image" (GRRR 2014))

   "Saut dans le vide est un rêve tumultueux, dont certaines séquences sont proches du haut le coeur que nous procurent les songes de chute. Prenez vos parachutes et sautez avec eux, vous vous réveillerez peut-être au pied de votre lit, comme Little Nemo, inexorablement."
   Patrick Bossati - Pour la danse (à propos du spectacle "Saut dans le vide", avec Mark Tompkins)

   "Tout en mouvement, rock, satire et virtuosité. Elle disparaît horizontale sous sa contrebasse, sa voix s'accordant au chant sur Paris la folie… celle qu'on aime."
   Véronique Danneels - De Standart (traduit du flamand) (à propos du spectacle "Tempête à la Tour Eiffel", avec Mark Tompkins)

   "Hélène Sage fait des expériences avec des bruits du quotidien. Alors, soudain elle apparaît, mais on ne la voit pas. On voit sa voix, qu'elle traduit en images. Elle est le fil conducteur de l'humour."
   Notes (traduit du flamand) (à propos du spectacle "Tempête à la Tour Eiffel", avec Mark Tompkins)

"Grande et sans gène, avec une aura d'amazone et de solitaire. Une femme mémorable, qui donnait une impression à la fois d’autarcie et de vulnérabilité. Un elfe timide à l'allure de globe trotter. Sa musique se caractérise par une très grande mobilité, par la création de métaphores, par une atmosphère inhabituellement dense, dans laquelle elle ose s'aventurer avec une ironie et un sens radical de la perte au jeu."
   Rigobert Dittmann - Bad Alchemy (traduit de l'allemand) (Rencontre avec un journaliste lors d'une tournée en Allemagne)

   "Musique visuelle, mouvementée, véritable scénario qui se matérialise sous nos yeux, dans nos têtes.
   Pierre durr - Intramusique"
(à propos de "Frissons dans la cochlée" (dans United Dairies 16 - GB))

   "Pas de concession à quelque goût du jour, mais une musique à coeur ouvert et des moments très drôles."
   Son vidéo magazine (à propos du Vinyl "Supposons le problème résolu" (GRRR 1008) avec Bernard Vitet)

   "Une démarche musicale qui ne doit pas grand chose à l'influence américaine. Théâtre de l'absurde, emploi d'instruments qui ne sont pas au dictionnaire. Tristes doctrinaires, vous voila prévenus, n'écoutez pas cette musique, elle est réservée aux déviationnistes pervers (et fiers de l'être), comme le signataire de ces lignes."
   Gustave Cerutti - Jazz 360° (à propos du spectacle "Supposons le problème résolu" (GRRR 1008) avec Bernard Vitet)

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